Une petite âme pure : Alix d’Aigneaux

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Description

Le royaume des cieux n’est-il pas fait pour ceux qui restent comme des petits enfants ?
Elle faisait partie des petites fleurs mystiques, trop belles pour les souillures de cette terre, et bien vite cueillies par le Maître Divin pour L’honorer au ciel.
Enfant, elle l’était restée par la pureté de son âme, qui se reflétait dans son limpide regard. Jamais, on n’eut à lui reprocher quoi que ce soit à cet égard, et d’instinct elle fuyait l’ombre même du mal, pressentant qu’elle devait garder tout immaculé, le lys que le Seigneur devait si tôt cueillir.
 » Mais il faut que je combatte, que je souffre, et enfin, ô ce Dieu d’amour me cueillera avant que le péché mortel ne m’ait effleurée ! Alors, je m’en irai avec mon Dieu !  »
La petite âme, purifiée par les épreuves morales et les souffrances physiques, devait être bien prête pour le baiser de Dieu. Aussi, quittant des yeux cette terre où repose l’humble dépouille, en ce même cimetière ou reposa aussi Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, pouvons-nous, avec confiance, regarder le Ciel.
Elle aima tellement Jésus que le divin Maître s’empressa de la cueillir.

Auteur : Abbé G. A. Simon

Livre broché

Format A5

170 pages

Edition de février 2007

Informations complémentaires

Dimensions 1 × 15 × 21 cm

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